The Dance Screen (The Scream Too) – Pièce de 1 kilo en platine pur
The Dance Screen (The Scream Too) – Pièce de 1 kilo en platine pur
À propos
Une exclusivité de la collection Opulence : un chef-d’œuvre haïda magnifiquement réimaginé sur une pièce de un kilo en platine.
Ciselé à la perfection, le visuel captivant de The Dance Screen (The Scream Too) a laissé en 2015 une marque indélébile dans l’esprit des collectionneurs, qui ont pu voir le chef-d’œuvre en cèdre du chef James Hart reproduit sur une pièce de cinq kilos en argent fin. Aujourd’hui, en 2024, cet appel à l’importance du rôle du Saumon dans la nature est toujours aussi à-propos et puissant. Les personnages expressifs sont resplendissants sur 1 kilogramme de platine pur à 99,95 %, un métal précieux plus rare que l’or qui fascine par son lustre.
Exclusive à la collection Opulence, cette pièce de un kilo en platine est seulement la deuxième pièce du genre – la première étant la pièce Summum 2021, émise dans les premiers temps de cette collection redéfinissant la rareté. Aujourd’hui, en 2024, ce joyau prestigieux au faible tirage recrée les éléments sculptés d’une des œuvres les plus connues de l’art de la côte du Nord-Ouest et s’orne d’incrustations iridescentes en coquilles d’ormeaux provenant de la Nouvelle-Zélande qui soulignent la symbiose entre terre et mer.
Un article de collection rare de la Monnaie royale canadienne.
Le luxe en tous points
La pièce est encapsulée et élégamment présentée dans un luxueux coffret de style vitrine. Dans le coffret, la pièce repose sur un écrin amovible. Un tiroir en dessous contient le certificat d’authenticité sous forme de livret ainsi qu’une paire de gants à enfiler pour manipuler la pièce. Pour sa protection durant le transport, la pièce est expédiée dans une boîte protectrice distincte.
Caractéristiques particulières
- Du nouveau dans la collection Opulence. Parmi les pièces les plus exclusives émises par la Monnaie royale canadienne en 2024, The Dance Screen (The Scream Too) est un chef-d’œuvre moderne d’un des artistes haïdas contemporains les plus accomplis, James Hart (7IDANsuu).
- Une pièce de un kilo en platine. Faite de 1 kg de platine pur à 99,95 % – un métal encore plus précieux et rare que l’or – et rehaussée d’un fini épreuve numismatique miroitant qui rehausse le lustre naturel du métal. Cette pièce en platine surdimensionnée (101,6 mm de diamètre) est seulement la deuxième en son genre émise par la Monnaie royale canadienne (la première pièce Opulence de un kilo en platine a été frappée en 2021).
- La symbiose entre terre et mer. Chaque pièce est ornée de six fragments iridescents de coquilles d’ormeaux de source responsable provenant de la Nouvelle-Zélande, lesquels ajoutent un éclat nacré au motif gravé. Leur forme évoque les boucliers en cuivre ornementés qui étaient autrefois l’étalon de la richesse chez les Haïdas.
- Un tirage mondial très faible. Cette pièce en platine a un tirage limité à seulement 38 pièces dans le monde, ce qui confère un élément de rareté et d’exclusivité à ses nombreuses qualités distinctives.
- Un champ spécial au motif récurrent. Une représentation gravée d’une portion du paravent de danse haïda recouvre le champ à l’avers.
- Une collaboration artistique. La pièce est le fruit d’une étroite collaboration avec l’artiste James Hart (7IDANsuu), qui a examiné et approuvé le motif final. Celui-ci figure également sur une pièce de 10 kilogrammes en or pur à 99,99 % dont le tirage est limité à un (1) seul exemplaire; celle-ci sera mise aux enchères par la Maison de vente aux enchères Heffel.
- Un givrage impeccable. Le revers de la pièce est gravé avec une précision et une profondeur remarquables et rehaussé par tout un éventail de givrages, créant un jeu d’ombre et de lumière sur le relief.
- Le luxe en tous points. Nichée dans un écrin amovible décoré, chaque pièce est présentée dans un coffret de style vitrine et accompagnée d’un certificat d’authenticité (sous forme de livret), ainsi que d’une paire de gants à enfiler pour manipuler la pièce.
Caractéristiques
Maman ourse et ses oursons
Au centre du paravent se trouve Maman ourse, dont la vie dépend grandement du Saumon. Sous sa large gueule grande ouverte, ses deux oursons se tiennent de part et d’autre de la porte du paravent; ils ont pris une forme humaine, un thème haïda récurrent. La gueule ouverte, ils crient la détresse du Saumon, amplifiée par leurs mains levées.
Le Chaman
Le Chaman préside devant l’œuvre pour maintenir l’ordre, guérir et accomplir des rituels assurant la continuité. Ce Chaman assure le retour cyclique du Saumon. Il représente également l’artiste lui-même, qui alerte les gens sur le sort du Saumon.
Épaulards
Deux Épaulards, un mâle et une femelle, sont sculptés à côté de chaque Ourson, leurs grandes nageoires dorsales s’élevant de chaque côté du visage de Maman ourse. À travers le personnage situé dans leur évent, qui représente l’esprit de la baleine, ils hurlent le sort qui attend le Saumon.
Aigle et Grenouilles
Un Aigle est représenté au-dessus de Maman ourse. Ses serres sortent des oreilles de l’ourse, et des Grenouilles se trouvent dans ses petites oreilles. L’Aigle aux ailes déployées a la capacité de voler si haut qu’il peut atteindre le monde céleste. Les Grenouilles symbolisent à la fois la chance et la capacité de passer de notre monde à l’au-delà.
Castor et Corbeau
Le Castor, représenté en train de pousser un cri, se trouve du côté gauche de la sculpture, tandis que le Corbeau, rusé, l’observe à bonne distance, de l’autre extrémité du paravent. Un récit haïda raconte l’histoire de Corbeau volant un lac rempli de saumons au peuple des Castors qui les gardait pour lui seul. Déguisé en vieil homme, Corbeau feint l’amitié pour ce peuple, avant de se mettre à la recherche du Saumon dès que ses membres ont quitté la Grande Maison. Il tombe alors sur un lac contenant le Saumon et des pièges à poissons, et il décide de les voler : il enroule le lac et tout ce qu’il contient comme s’il s’agissait d’une couverture et s’élance dans un grand arbre. Le peuple des Castors et ses amis essaient de convaincre Corbeau de leur rendre leur bien, mais celui-ci les ignore. Il s’envole et déverse l’eau dans son sillage, créant ainsi les rivières à saumon sur l’archipel de Haida Gwaii ainsi que quelques-unes des grandes rivières sur le continent.
Saumon et le peuple du Saumon
Toute l’œuvre est encadrée par le Saumon, tant sous sa forme humaine qu’animale. Sculptés à même le pourtour, on observe le visage des membres du peuple du Saumon ainsi qu’un motif récurrent formé de deux saumons, l’un mâle et l’autre femelle.
Caractéristiques techniques
Motif et artiste(s)
Revers
Chef 7IDANsuu (Edenshaw), James Hart de Haida Gwaii
Avers
Steven Rosati
Le motif gravé au revers recrée des éléments de The Dance Screen (The Scream Too), un paravent de danse en cèdre rouge sculpté par le chef James Hart, un des artistes haïdas les plus renommés et accomplis du Canada. Le motif rassemble des personnages traditionnels haïdas dont la survie dépend fortement du Saumon : un Chaman, le Castor, le Corbeau, l’Aigle, la Grenouille, l’Épaulard ainsi que Maman Ourse et ses petits. Le Saumon y est représenté dans sa forme humaine et animale le long du pourtour de la pièce, où sont également incrustés six fragments iridescents de coquilles d’ormeaux de source responsable provenant de la Nouvelle-Zélande. Luisant d’un éclat nacré sous la lumière, ils rappellent par leur forme les boucliers en cuivre qui étaient autrefois l’étalon de la richesse chez les Haïdas. À l’avers, une représentation gravée d’une portion de la sculpture d’origine remplit le champ derrière l’effigie de Sa Majesté le roi Charles III, selon l’artiste canadien Steven Rosati.
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